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CE QUE L’ON NE VOUS DIT PAS SUR LES PROJETS ÉOLIENS……
les projets éoliens sont financièrement très rentables…., pour les industriels, grâce à la CSPE que nous payons sur nos factures EDF
Pour favoriser le développement des énergies renouvelables, EDF est obligée d’acheter l’électricité produite par les éoliennes pendant les 15 premières années à un prix fixé depuis 2009 à 82 Euros, plus du double du prix de marché actuel, ce qui permet aux promoteurs d’amortir l’investissement de départ (environ 2,5 millions par éolienne) mais se traduit par des pertes pour EDF.
Au-delà de cette période de 15 ans, l’investissement est amorti et les exploitants des éoliennes peuvent librement vendre leur production sur le marché. L’amortissement des éoliennes s’effectue à nos frais car nous compensons EDF des pertes qu’il supporte en payant sur nos factures un impôt déguisé appelé Contribution au Service Publique pour l’Électricité (CSPE).
Cette CSPE s’élève actuellement à environ 10% du montant de vos factures (contre 50% en Allemagne). Elle est fixée par la CRE à 0,0165 Euros/KWh en 2014 et augmente de 0,003 Euros/KWh chaque année pour récupérer la hausse continue de ces pertes qui augmentent avec la mise en service de nouvelles éoliennes.
En Allemagne le coût du renouvelable a explosé. L’équivalent de la CSPE a doublé en 4 ans et est actuellement de 0,0624 Euros/KWh, soit quatre fois plus qu’en France,et les taxes ont augmenté de 237%
Les Pouvoirs Publics Français ayant pour objectif de faire passer le parc éolien terrestre de 7.600 à 19.000 MW d’ici 2020,
Attendez-vous donc à une forte hausse de la CSPE ces prochaines années.
Les lobbies éoliens industriels sont les premiers à profiter du système, et par leur discours, ils détournent votre attention pour se réserver la rente.
Le rendement d’un projet éolien est en moyenne aux environs de 5% Ce rendement est dû à la vente de la production sur le marché au-delà de la période de 15 ans évoquée ci-dessus.
Mais pour les actionnaires du projet, il est très nettement supérieur et, selon la CRE, peut atteindre des niveaux de plus de 50% par an, voire 200% sans parler des déductions possibles de l’ISF. En effet, l’obligation d’achat de la production pendant les 15 premières années met les banques en confiance car la vente de cette production correspond à l’amortissement de l’investissement. Ceci explique pourquoi dans la plupart des cas plus de 70% des projets sont financés par des prêts, quand ce n’est pas plus de 80%. Par conséquent au-delà de la période de 15 ans, les prêts étant remboursés, les revenus provenant de la vente de la production sur le marché sont partagés entre les actionnaires, compte tenu du faible coût de fonctionnement.
Mais l’éolien terrestre n’est pas rentable économiquement
Une éolienne ne commence à produire de l’électricité que si la vitesse du vent est supérieure à environ 13 Km/h.Par conséquent posez-vous des questions lorsque vous voyez une éolienne qui fonctionne quand il n’y a pas de vent. En revanche, pour des raisons de sécurité, les éoliennes sont arrêtées en période de grands vents (entre 90 et 100 Km/h selon les modèles). La puissance produite dépend de l’intensité et de la force du vent
Ainsi une éolienne Enercon 82 fonctionne au quart de sa puissance pour des vents de 25 km/h et à la moitié de sa puissance pour des vents de 32 km/h et atteint la totalité de sa puissance pour des vents de plus de 50 Km/h. Regardez la météo à Château-Guibert sur Google et vous comprendrez que les éoliennes tournent rarement à leur puissance maximale. Selon la CRE les éoliennes délivrent chaque année en moyenne entre 20 et 24% de leur puissance maximale.
L’empreinte écologique de l’éolien n’est pas nulle.
Comme l’hydraulique et le nucléaire, l’éolien en fonctionnement ne dégage pas de CO2 et l’impact résultant de sa fabrication et de son installation varie de 3 à 22 g/KWh. En revanche, son empreinte écologique indirecte est forte. En effet, l’offre et la demande d’électricité doivent s’équilibrer en tout point du réseau, au risque sinon de panne ou de black-out. Comme elle dépend de la force et de l’intensité du vent par définition très changeant, la production des éoliennes est imprévisible et intermittente. Par conséquent, les producteurs d’électricité doivent maintenir en veille des centrales polluantes à gaz ou au charbon pour se substituer aux éoliennes en cas d’intermittence ou d’insuffisance de production, c’est à dire plus de 75% du temps.En fonctionnant par à-coups, ces centrales polluent encore plus et les émissions sont mal contrôlées.
Faire croire qu’on peut remplacer toutes les centrales nucléaires par du renouvelable est une utopie et un rêve.
Il faudrait plus de cent mille éoliennes en France, et l’intermittence de leur production nécessiterait des moyens de production annexes considérables. Les lobbies pro-éolien vous mettent en condition en agitant des chiffons rouges pour vous pousser à accepter les éoliennes : haro sur le nucléaire, le réchauffement climatique,…etc.
En outre le foisonnement des éoliennes ne pourrait pas gommer le défaut de leur intermittence.
Il existe deux gisements venteux prépondérants en France, au Nord-Ouest et au Sud Est. Mais les éoliennes débitant en 20.000 volts, la chute de tension sur le réseau en fonction de la distance parcourue ne permet pas de transporter l’électricité produite à plus de 200 Km. De plus l’énergie éolienne n’est pas forcément disponible quand on en a besoin en période de canicule ou de grand froid ou en période de faible vent.
On vous dit que le stockage de l’électricité est la solution.
L’électricité ne se stocke pas ou très difficilement et en très petites quantités. Quelques centres de recherche ont mis au point des prototypes mais ils sont très coûteux et stockent à très faible échelle. Nous n’en sommes qu’au point de la découverte, comme pour les moteurs électriques il y a 15 ans, et l’industrialisation n’est pas pour demain.
Le développement de l’éolien ne soutient pas l’emploi, au contraire.
Contrairement à l’éolien off-shore, les machines ne sont pas fabriquées en France mais sont construites en Allemagne au Danemark et en Espagne. La main d’œuvre française étant trop chère, la livraison et l’installation sont faites par des équipes étrangères (hongroises, polonaises) Les quelques emplois créés se limitent aux extensions de centres de fabrication de granulat et de béton, aux équipes de surveillance, et surtout aux commerciaux destinés à assurer le lobby. Mais ces créations d’emplois ne compensent pas les destructions d’emplois résultant de la perte d’attractivité des régions dans de nombreux secteurs comme le tourisme, l’immobilier, la pêche….Notez qu’aucune éolienne ne sera installée dans la région du Puy du Fou et des Herbiers, car cela nuirait au tourisme et au Parc d’activités.
De nombreux rapports de spécialistes mettent en garde contre les dangers sanitaires de l’éolien. Les infrasons (sons à basse fréquence non perceptibles) générés par le fonctionnement des éoliennes peuvent provoquer des troubles du sommeil, des maux de tête, des acouphènes, des vertiges, des nausées, des troubles visuels, de la tachycardie, des angoisses et des problèmes de mémoire chez certaines personnes (cf rapport de Nicole Lachat de juin 2011 sur Google). Selon la Royal Society of Medicine anglaise, ces symptômes peuvent apparaître jusqu’à une distance de 10 km des éoliennes en fonctionnement, mais leur apparition n’est pas forcément immédiate. De même, des préjudices visuels ont été constatés du fait du clignotement des flash blancs ou rouges nuit et jour.Chez les animaux, le bruit et les infrasons peuvent avoir des effets sur la ponte, les vêlages, la production de lait, les blessures, la sécrétion hormonale, la rétention d’eau, l’activité cardiaque, les problèmes respiratoires et l’appétit.
Les projets éoliens ont également une répercussion directe sur la valeur de vos biens immobiliers, et par conséquent sur l’assiette de plusieurs impôts locaux. La simple évocation par une commune d’un projet éolien provoque déjà par anticipation un ajustement à la baisse de la part des agences immobilières. Plusieurs personnes en ont fait la triste expérience, L’impact dépend de la proximité des éoliennes et peut varier de 20% à plus de 40%.
La Vendée se veut pilote en matière de développement de l’éolien avec en projet la construction de près de 100 éoliennes dans un rayon de 20 km..…
SI VOUS REFUSEZ LA DEFIGURATION ET LE MITAGE DU BOCAGE ET DE LA REGION….
Si vous ne voulez pas enrichir les Lobbies en payant la CSPE appelée à augmenter….
Si vous ne voulez pas subir les conséquences du projet éolien envisagé par la commune de Château-Guibert –Les Pineaux.
MOBILISEZ-VOUS, Réagissez, IL N’EST PAS TROP TARD, MAIS FAITES VITE !
Adhérez à l’Association en remplissant le bulletin d’adhésion ci-après et en l’envoyant par la poste à l’adresse suivante :
Association VENT DE FURIE
La Morandière Neuve
85 320 CHÂTEAU-GUIBERT
L’association vous permet de vous opposer collectivement au projet tout en gardant l’anonymat. Elle est régie par la loi de 1901 et est enregistrée au JO ce qui lui permet d’exercer toute voie de recours décidée par les adhérents en Assemblée Générale.
Liste des liens intéressants :
Rapport du 21 janvier 2015 sur le lien entre infrasons et nuisances :
https://www.pacifichydro.com.au/english/our-communities/communities/cape-bridgewater-acoustic-study-report/?language=en
Avis du Sénateur PS Jean Germain, alors Vice-Président de la Commission des Finances du Sénat :
http://www.contrepoints.org/2015/02/16/197154-eoliennes-le-point-de-vue-du-senateur-ps-jean-germain
Manifestatioau pied du mât de mesure de Thorigny
ADHESION A L’ASSOCIATION VENT DE FURIE
(Plus nous seront nombreux, plus nous pourrons agir)